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Ce type d’épicerie a pour but de satisfaire les besoins de l’alimentation quotidienne à partir de produits issus de l’agriculture paysanne ou biologique locale. Les fruits et légumes seront 100% locaux.

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Pour comprendre le concept, visitez: L’Epicerie Les Pissenlits, 147 rue Sainte, 7e.

09 51 85 84 46. Du mardi au samedi 10-13/16-20. Et 51 Bd Chave, 5e.

Finie la malbouffe ? Plus de salière, de beurrier ou de bouteilles d’alcool sur la table, les Français affirment mieux manger. Seul hic : beaucoup n’ont pas les moyens de leurs bonnes intentions. Manger bio ou simplement des fruits et légumes reste un luxe encore trop souvent inaccessible.

Le bio, bon pour la santé mais pas pour le compte en banque (AFP)


D’après le baromètre santé nutrition 2008, publié mardi, les Français mangeraient plus équilibré. Plus des trois quarts de la population (75,9%) estiment mieux manger, soit 3 points de plus que lors de la première enquête en 1996. Mais qu’est-ce que signifie « manger équilibré »pour les personnes interrogées ? Cela veut dire manger varié, ne pas grignoter entre les repas, privilégier certains aliments bons pour la santé et éviter les autres, notamment les produits trop salés, gras et l’alcool.

Pas le temps
Les Français avouent en revanche prendre moins de temps pour cuisiner de bons petits plats. La proportion de personnes déclarant avoir consommé un plat tout prêt au moins une fois par semaine a nettement augmenté, passant de 32,2% en 2002 à 47,3% en 2008. Un rythme de vie plus intense signifie aussi une baisse du temps consacré aux activités physiques, pourtant essentielles à un mode de vie sain. Plus de la moitié des Français (58% des 15-75 ans) n’atteint pas le niveau d’exercice recommandé.

Pas d’argent
Si les Français font attention à leur assiette, ils n’oublient pas leur porte-monnaie. Le facteur ‘budget »est de plus en plus déterminant dans l’achat de nourriture. Depuis la dernière enquête de 2002, on constate une nette augmentation de la proportion de personnes interrogées citant le prix comme critère de choix du lieu d’achat des produits alimentaires, loin devant la qualité ou la variété. En 2008, près de 43% des personnes qui pensent ne pas manger suffisamment de fruits évoquent leur prix comme étant un obstacle, contre 15% en 2002. Pour les légumes, la proportion est passée de 15,4% à 37% en 2008. Le bio a beau avoir la cote, ses prix restent dissuasifs sur les marchés mais surtout dans les grandes surfaces. Selon une enquête de l’UFC-Que choisir, un panier de produits bio à marque de distributeur est en moyenne 57 % plus cher que le panier de marque de distributeur non bio. Bien que les produits bio soient plus chers à produire, c’est surtout la marge prise par le distributeur qui explique ce grand écart.

Alors que le phénomène du bien manger supplante celui de la malbouffe et que les sandwichs bio prennent le pas sur les hamburgers graisseux, le prix de la bonne chère reste malheureusement encore trop élevé pour certains. Démocratiser le bien-être alimentaire, nouveau défi de la décennie ?

Source: Le petit journal

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